Enzo est entré à 22 ans chez AC Environnement. C’était il y a 2 ans et demi seulement et déjà il nous partage son expérience ! Des études dans le milieu du bâtiment, un bac pro et un BTS gros œuvre en poche, voici qu’Enzo est désormais chargé de projets. Un poste qui lui plait, malgré les kilomètres à parcourir, et qu’il vous présente en quelques mots vrais et spontanés. Laissons-nous embarquer dans son monde… et apprécier son authenticité.
Publié le 23 juin 2022
La découverte d'un métier
Enzo BERTON,
Diagnostiqueur immobilier et chargé de projets chez AC Environnement
Pourquoi être entré chez AC Environnement ?
Je ne connaissais pas du tout le métier de diagnostiqueur immobilier lorsque je me suis rendu à l’agence AC Environnement de Tours pour le premier rendez-vous. Il a fallu tout m’expliquer du métier, de ses enjeux, de sa portée aussi.
Et j’ai été séduit, car justement, c’était tout nouveau pour moi. C’est un métier où on est obligé de connaître toutes les fonctions du bâtiment. Et pour moi, ça élargissait mes connaissances théoriques. Et puis être considéré comme un expert du bâtiment, celui qui « voit à travers les murs », c’est très valorisant. Je suis donc heureux de m’être engagé dans cette voie-là.
AC Environnement vous a formé à ce métier nouveau pour vous ?
Oui, j’ai fait mes formations et préparé toutes mes certifications au sein de leur centre interne. J’ai débuté en présentiel où j’ai pu passer mes certifications amiante et amiante mention. Puis avec l’arrivée du Covid, la suite s’est déroulée en visioconférence. Ça n’a pas posé de souci car les formations sont très bien organisées et les interlocuteurs sont bons. C’était clair, précis et complet.
Vous avez une spécificité en tant que diagnostiqueur ?
Effectivement, avec ma certification amiante avec mention, je peux intervenir et rédiger des rapports sur des projets d’avant-travaux et de démolition. Ce qu’on ne peut pas faire avec une simple certification amiante.
Un opérateur de repérage effectuant des prélèvements d'amiante
Concrètement sur le terrain ...
Quel est votre quotidien ?
Mon quotidien ? C’est la route ! (rire)
On passe effectivement pas mal de temps sur la route en fonction des interventions à réaliser. On va parfois rester sur place une semaine à quinze jours ou à l’inverse, certaines interventions ne durent qu’une heure comme dans les logements de particuliers.
Même si je fais essentiellement du diagnostic amiante et plomb, il n’y a jamais deux missions identiques. On est obligé de réfléchir et de s’adapter chaque fois selon le programme de travaux. Et c’est bien, comme ça nos journées sont toujours différentes !
Qu’est-ce que vous aimez le plus et le moins dans votre métier ?
Ce que j’apprécie le plus c’est l’interaction avec le client. On rencontre, on découvre, on en apprend tous les jours. On côtoie beaucoup de monde et moi, la relation clientèle et la sociabilité, ça me plaît beaucoup. Et puis comme pour les missions, les interlocuteurs sont tous différents et leurs attentes aussi. Il faut s’adapter à leur niveau de compréhension, les rassurer parfois, les sensibiliser souvent !
Ce qui me plaît le moins, ce sont les trajets. Mais ça fait partie du job et c’est surtout quand on va faire des missions lointaines c’est-à-dire en dehors du département. Heureusement, ce n’est pas trop fréquent. Et ça ne prend pas le dessus sur mon plaisir au quotidien de la rencontre et de la mission à réaliser !
L'expertise du bâti
Les diagnostiqueurs immobiliers interviennent
aussi dans les logements occupés par des particuliers.
Quelle est l’importance de votre métier ?
Le diagnostic immobilier est important car il apporte un éclairage, une lecture du bâti et nécessite ensuite du conseil.
On accompagne nos clients et on répond à toutes leurs questions. Quand ils reçoivent les résultats, ils ne savent pas trop quoi en faire donc on leur explique et on les aide à les interpréter voire à identifier les solutions possibles. C’est vrai, notre métier est peu connu donc il est important d’expliquer, d’éduquer, surtout quand on doit faire des interventions complémentaires, notamment pour l’amiante.
Ensuite, en tant que diagnostiqueur immobilier, il faut de la régularité, de la rigueur, de la patience, de l’observation et de l’analyse. Chaque diagnostiqueur va travailler différemment et on n’a pas tous la même façon de penser, la même expérience et la même façon de rédiger. Pourtant un diagnostic doit toujours être unique !
Comment vous voyez-vous évoluer ?
Si je dois me projeter dans 5 ans, je me vois grandir et évoluer au sein d’AC Environnement. Je viens juste d’être promu « chargé de projets » et après pourquoi pas la gestion et l’organisation. Mais j’ai encore beaucoup à apprendre dans mon poste actuel avant de penser à un autre poste.
Le mot de la fin
Si je dois rajouter quelque chose, c’est juste qu’il ne faut pas être passif dans le groupe AC Environnement. Ce groupe est très intéressant et en pleine mutation. Il faut donc accompagner cette évolution et les idées de notre présidente et son équipe.
Il faut être acteur, tout simplement.
Merci ENZO, belle continuation !
Enzo BERTON,
Diagnostiqueur immobilier
et chargé de projets chez AC Environnement
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